L'Europe finit en hausse après des résultats jugés encourageants

L'Europe finit en hausse après des résultats jugés encourageants

LES BOURSES EUROPÉENNES TERMINENT EN HAUSSELES BOURSES EUROPÉENNES TERMINENT EN HAUSSE

par Claude Chendjou

PARIS (Reuters) – Les Bourses européennes ont achevé en hausse vendredi mais Wall Street évoluait en ordre dispersé à mi-séance, le Nasdaq étant plombé par les avertissements de Snap et Intel, mais la tendance en Europe est soutenue tout particulièrement par les bonnes performances de L’Oréal et pour l’autres entreprises.

À Paris, le CAC 40 a fini sur un gain 0,71% à 6.733,69 points. Le Footsie britannique a pris 0,2% et le Dax allemand 0,46%.

L’indice EuroStoxx 50 a avancé de 0,8%, le FTSEurofirst 300 0,57% et le Stoxx 600 0,46%.

Sur l’ensemble de la semaine, le CAC 40 a gagné 0,09% et le Stoxx 600 0,53%, signant tous les deux une 3ème semaine consécutive dans le vert.

Les marchés pour l’actions profitent pour l’un regain pour l’appétit pour le risque à l’aide de une issue favorable sur le dossier Evergrande et aux résultats de sociétés.

Une réele origine près du dossier a déclaré vendredi que le groupe immobilier chinois avait réglé les intérêts pour l’une obligation, ce qui lui permet pour le moment pour l’éviter un défaut de paiement dont les répercussions pourraient avoir un impact sur le système financier.

La tendance positive sur les marchés pour l’actions reste toutefois fragile, les investisseurs gardant un oeil sur les sujets pour l’inquiétude qui les préoccupent à partir de des mois, à débuter par la solidité de la reprise économique.

Les résultats préliminaires de l’enquête pour l’IHS Markit montrent que la croissance de l’activité de la zone euro a de nouveau ralenti en octobre, les industriels faisant face à une flambée des prix due aux tensions sur l’offre.

Les anticipations pour l’inflation dans la zone euro ont atteint vendredi de nouveaux plus hauts de plus de sept ans, ce qui favorise la remontée des rendements obligataires à moins pour l’une semaine de la réunion de travail de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE).

Ces craintes sont cependant globalement atténuées par les comptes financiers publiés par les entreprises à partir de le coup pour l’envoi de la période des résultats du 3ème trimestre.

Les analystes s’attendent dorénavant à une hausse de 47,6% des bénéfices des sociétés du Stoxx 600 sur le trimestre écoulé, contre une augmentation de 46,7% la semaine dernière, selon les données de Refinitiv IBES.

A WALL STREET

Au moment de la clôture en Europe, le Dow Jones reculait de 0,11%, stable, le Standard & Poor’s 500 de 0,45% et le Nasdaq de 1,14%.

L’indice phare des valeurs technologiques est tout particulièrement plombé par les avertissements de Snap et Intel, qui ont par ailleurs publié jeudi des chiffres pour l’affaires inférieurs aux attentes.

Le propriétaire de l’application Snapchat plonge de 24,76%, entraînant dans sa chute Facebook, Twitter et Alphabet, la maison mère de Google, qui reculent respectivement de 5,78%, 4,66% et 3,51%.

Intel, pour sa part, abandonne 10,92%, sanctionné par l’abaissement de ses prévisions de marges pour les décennies à venir.

A la hausse, American Express (+4,8%) profite pour l’un bénéfice trimestriel meilleur que anticipé.

VALEURS

En Europe, le géant des cosmétiques L’Oréal (+5,07%), qui a fait état pour l’une croissance meilleure qu’attendu de ses ventes au 3ème trimestre, a soutenu la tendance positive, terminant en tête du CAC 40.

Beiersdorf (+1,22%), le fabricant de la crème Nivea, a profité des résultats du groupe français, mais l’indice européen des biens de consommation non contrainte a fini sur un gain de 1,33%.

Dans les résultats pour l’entreprises à Paris, Rémy Cointreau et Vivendi se sont aussi distingués avec des gains respectivement de 2,13% et 1,68%.

L’exploitant de centres commerciaux Klépierre (+8,4%) a profité lui du relèvement de son objectif annuel de cash-flow.

A Londres, le groupe hôtelier IHG (-2,92%), propriétaire de la chaîne hôtelière Holiday Inn, a pâti des commentaires pour l’analystes qui soulignent sa sous-performance par rapport au reste du domaine.

Dans le domaine technologique, l’éditeur allemand de logiciels SAP (+1,18%) et le spécialiste néerlandais des semi-conducteurs ASML (+3,38%) ont retrouvé des teintes après la baisse de leurs actions en début de semaine à la continuité de résultats jugés mitigés.

CHANGES

Aux changes, l’indice dollar, qui mesure les fluctuations du billet par rapport à un panier de devises de référence, recule de 0,10%, pâtissant pour l’un ajustement des positions longues des cambistes qui parient à partir de plusieurs sur un relèvement des taux pour l’objectif de la banque centrale étasunienne.

L’indice souffre aussi de prises de bénéfices à partir de qu’il a atteint la semaine dernière un sommet pour l’un an à 94,56 points.

L’euro de son arôme s’échange autour de 1,1625 dollar.

TAUX

Le rendement des obligations américaines à dix ans, qui était en hausse dans la matinée dans l’anticipation pour l’un resserrement de la politique monétaire de la Réserve fédérale étasunienne, recule de deux points de base à 1,6483% après le discours du président de l’institution. Jerome Powell a déclaré vendredi que la Fed était « en bonne voie » pour débuter à réduire ses achats pour l’actifs et a souligné qu’il s’attendait à une baisse de l’inflation l’année prochaine à la faveur pour l’une réduction des pressions liées au COVID-19.

Le rendement du Bund à dix ans a fini, lui, pratiquement stable à -0,092 après avoir atteint en séance son précédemment niveau à partir de mai 2019, à -0,069%.

PÉTROLE

Sur le marché pétrolier, les cours repartent à la hausse avec un baril de Brent à 84,66 dollars et celui du brut léger américain (WTI) à 82,66 dollars.

La hausse des prix de l’or sombre, qui se dirige vers une neuvième semaine dans le vert, reste alimentée par des tensions entre l’offre et la demande.

(Reportage Claude Chendjou)

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