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Wall Street ouvre en ordre dispersé, tente un rebond malgré l'inflation

La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé jeudi, tentant un rebond après deux séances consécutives de repli, avec l’inflation persistante forcément en toile de fond.

Vers 14H50 GMT, le Dow Jones était en baisse de 0,12% à 36.038,27 points, mais l’indice Nasdaq à forte composition technologique prenait 0,73% à 15.737,05 points et l’indice élargi S&P 500, 0,27% à 4.659,38 points.

Le marché obligataire est fermé jeudi, jour férié aux Etats-Unis, dédié aux anciens combattants, lors duquel les volumes pourraient être limités sur les actions.

« L’humeur est au rebond après les pertes pour l’hier », a mis en valeur Patrick O’Hare, de Briefing.com. « Reste à savoir si c’est seulement une vague pour l’achats à bon compte ou quelque chose qui peut tenir jusqu’à la clôture », a-t-il ajouté, dans une note.

« En pour l’autres matière, est-ce transitoire ou persistant? », s’est interrogé l’analyste, en référence au polémique sur la nature de la poussée inflationniste observée actuellement.

Mercredi, le chiffre pour l’inflation pour octobre aux Etats-Unis est ressorti au un peu avant niveau annuel à compter de 1990, amenant les opérateurs à s’interroger sur un possible revirement de la Banque centrale étasunienne (Fed), qui s’accroche jusqu’en ce lieu au scénario pour l’une forte inflation passagère.

Pour Peter Boockvar, responsable de l’investissement chez Bleakley Advisory Group, la saison des résultats terminée, l’inflation et le début de normalisation monétaire de la Fed avec le ralentissement des achats pour l’actifs « vont être la dominante » dans l’effet des investisseurs.

A la cote, après son entrée en Bourse triomphale mercredi, le constructeur de véhicules électriques Rivian était encore très recherché par les investisseurs (+9,66%), qui propulsaient de nouveau sa capitalisation boursière très au-delà de 100 milliards de dollars (108).

L’action de son concurrent Tesla prenait de la hauteur (+0,84%) après la publication de papiers indiquant que son directeur général Elon Musk a vendu pour quelque cinq milliards de dollars de titres du constructeur de véhicules électriques entre lundi et mercredi.

Pas de magie pour Disney, sanctionné (-8,20%) après des résultats jugés décevants, en particulier pour son savoir faire de vidéo en ligne. Disney+ n’a ainsi gagné que 2 centaines de milliers pour l’abonnés sur un trimestre tandis que les analystes attendaient le quadruple.

Le géant du divertissement table forcément sur une fourchette de 230 à 260 centaines de milliers pour l’abonnés payants à Disney+ pour l’en ce lieu fin 2024.

Le site de commerce en ligne JD.com bondissait (+5,60%), après avoir divulguer que sa plateforme avait enregistré quasiment 50 milliards de dollars de ventes en une demi-journée à l’occasion de la fête des célibataires en Chine, plus important événement de e-commerce dans le univers.

Son concurrent Alibaba profitait aussi de l’élan (+2,44%), tout comme la plateforme Pinduoduo (+3,86%), aussi cotée à Wall Street.

Le spécialiste des substituts végétaux à la viande Beyond Meat s’enfonçait dans le de couleur rouge (-18,17%), lesté par des résultats inférieurs aux attentes. Le groupe a fait état pour l’une absence de main-d’oeuvre et de perturbations de la chaîne pour l’approvisionnement.

Boeing était en hausse (+1,83%) après l’annonce, mercredi soir, pour l’un protocole en accord pour l’indemnisation des proches des victimes du crash du 737 MAX pour l’Ethiopian Airlines qui avait fait 157 décés en mars 2019.

La société économique Affirm, devenue le symbole de l’émergence des achats à crédit en ligne, était sur orbite (+16,78%) après avoir annoncé le renforcement de son partenariat avec le géant Amazon (+1,56%).

Tous les achats de 50 dollars ou plus élaborés sur Amazon pourront maintenant être échelonnés avec le concours pour l’Affirm.

Le groupe Tapestry, qui contrôle plusieurs enseignes de mode, sortait du lot (+9,01%) à l’aide de des résultats supérieurs aux attentes, dopés par sa marque Coach, dont les ventes sont supérieures de 15% à leur niveau pour l’il y a deux ans, soit avant la pandémie.

tu/ngu

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