Wall Street termine en léger rebond

Wall Street termine en léger rebond

Photo d'un panneau indiquant Wall Street à Manhattan, aux États-UnisPhoto pour l’un panneau indiquant Wall Street à Manhattan, aux États-Unis

NEW YORK (Reuters) – La Bourse de New York a fini en léger rebond jeudi, après cinq séances de repli pour le Standard & Poor’s 500, portée par les valeurs technologiques, mais la hausse des inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis a redonné un espoir de ralentissement de la hausse des taux pour l’avantage.

L’indice Dow Jones a gagné 0,55%, ou 183,56 points, à 33.781,48 points.

Le S&P-500, plus très large, a pris 29,59 points, soit 0,75%, à 3.963,51 points.

Le Nasdaq Composite a avancé de son arôme de 123,45 points (1,13%) à 11.082,00 points.

Les principaux indices new-yorkais, qui avaient cédé 3,6% à compter de le début du mois en raison de la crainte de voir la Réserve fédérale poursuivre sa remontée des taux à marche forcée, se sont un peu ressaisi après la publication des chiffres des inscriptions au chômage hebdomadaires, dont la légère hausse laisse penser que la surchauffe du marché du travail peut s’atténuer.

Si cette statistique ne devrait pas à elle seule avoir pour l’incidence sur les décisions de la Fed, dont les analystes s’attendent à ce qu’elle opte mercredi prochain pour une hausse de taux pour l’un demi-point, elle peut alimenter la réflexion de l’institution sur les suites à donner à sa politique de remontée rapide des taux.

« Les marchés ont vu une petite fenêtre pour des achats à bon compte avant la publication la semaine prochaine des chiffres des prix à la consommation », a commenté Dennis Dick, analyste marchés chez Triple D Trading.

Si l’ensemble des secteurs ont bénéficié de ce timide rebond, les valeurs technologiques ont été spécialement recherchées, Apple, Amazon et Nvidia gagnant entre 1,2 et 6,5%.

Microsoft a progressé de 1,24% malgré la décision de la Federal Trade Commission (FTC), le gendarme américain de la concurrence, de lancer une procédure visant à bloquer son projet de rachat de l’éditeur de games vidéo Activision pour 69 milliards de dollars. L’éditeur de games vidéos a perdu 1,54%.

(Rédigé par David French et Ankika Biswas, version française Tangi Salaün)

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